La question de l’encadrement de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux constitue l’un des grands enjeux actuels. Plus que jamais, la modération de contenu est un élément à ne pas négliger au sein des entreprises. C’est la raison pour laquelle il est important d’engager des modérateurs compétents.
La liberté d’expression ! Qu’en est-il des règles ? Où se trouvent les limites ? Est-il autorisé de tout dire ? Quelles sont les frontières entre le bien et le mal ? Qui est l’arbitre ?
Sans modérateurs, Internet ressembleraient certainement aux écuries d’Augias. Sur internet, vous pouvez à la fois trouver l’enchantement tout comme l’exaspération. Avoir une voix et se faire entendre, tel est la devise de la plupart des réseaux sociaux. Mais cela ne signifie pas pour autant que le champ est totalement libre.
Actuellement, les réseaux sociaux prennent une place considérable dans notre quotidien. En juin 2022, Facebook comptait plus de 2,9 milliards d’utilisateurs actifs mensuels, la messagerie WhatsApp plus de 2 milliards et la plateforme de partage de photos environ 1,5 milliard. L’application TikTok, quant à elle, dénombre près d’un milliard d’utilisateurs.
Ainsi, les médias sociaux constituent un terreau fertile à la liberté d’expression. Les internautes y partagent et y expriment leurs quotidiens, idées, revendications, opinions…
À ce sujet, la plupart des médias comme Facebook, Instagram ou Twitter se veulent être des plateformes qui favorisent la liberté d’expression, mais sous certaines conditions…
Il faut savoir que l’usage de ces réseaux sociaux s’accompagne souvent d’abus. Le fait d’être derrière son écran conforte un sentiment d’impunité grâce à l’anonymat. Ces débordements prennent plusieurs formes comme le les infractions aux droits d’auteur, le cyber harcèlement, la mise en péril des mineurs, l’incitation à la violence ou la mise en danger d’autrui dû au partage de données personnelles.
Et, même si ces actions sont commises uniquement sur internet, elles peuvent avoir des impacts réels à l’instar du meurtre de Samuel Paty : des internautes ont divulgué son nom et l’établissement scolaire où il exerçait.
L’instantanéité et le caractère viral des publications rendent la modération spécialement difficile. Et pour cause, comment détecter de manière efficace les posts nuisibles sans museler la liberté d’expression ? Quels sont les critères qui définissent un contenu nuisible ?
Dans tous les cas, il existe des lois pour punir ces infractions par voie électronique. Par contre, leur application est presque inexistante. C’est la raison pour laquelle la tâche du maintien de l’ordre sur internet est confiée aux modérateurs web, faute d’expertise régalienne.
Pour encourager et maintenir la liberté d’expression, les réseaux sociaux mettent en application des standards par lesquels ils offrent des espaces d’expression tout en prévenant les éventuels excès.
D’après les standards de Facebook (comme la plupart de ses concurrents), les publications prohibées font partie des catégories suivantes :
Ces plateformes se réservent alors le droit de restreindre la liberté d’expression dès lors où les publications ne respectent pas les règles. De même, ils n’hésitent pas à censurer toute forme de menace pour la sécurité et d’appel à la violence.
Pour les grands réseaux sociaux, la modération est une question de survie. Facebook, Twitter, YouTube, TikTok, Pinterest, Instagram Discord : tous les médias sociaux font face à plusieurs questions : comment freiner la diffusion de fausses informations ? La violence ? Les discours haineux ? Ou les fraudes ? Et, par la même occasion, comment être certain de ne pas bâillonner la liberté d’expression des internautes ? La solution est simple ! faites appel à une agence de modération web compétente comme LAPLUME.MG !